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Deux perturbateurs placés en institution

Deux des trois élèves prétendant avoir été frappés par un maître au Landeron intègrent la fondation Borel, à Dombresson. Une structure d'urgence soulage les écoles.

29 févr. 2012, 00:01
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L'un des trois élèves impliqué dans l'affaire du Landeron avait passé deux ans à la fondation Borel avant d'être réintégré dans une classe standard l'été dernier. Vous étiez opposé à ce qu'il quitte l'institution. Pourquoi est-il parti?

Cet enfant nous avait quittés à la demande des parents, qui ont le dernier mot. En général, ce genre de décision se prend ensemble. Mais dans ce cas-là, le jeune était parti contre notre avis. Sa maman nous avait rapidement recontactés pour nous dire que ça n'allait plus. Lorsque l'incident avec le professeur a éclaté, le processus de retour chez nous était déjà en cours.

Si le placement en institution s'était effectué plus vite, cet incident ne serait pas arrivé. Le système est-il trop lent?

Placer un enfant en institution prend toujours du temps. Et c'est très bien ainsi. Il s'agit d'un acte peu banal pour un jeune, qui se retrouve éloigné de...

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