Le réseau, baptisé Lorno, est constitué de capteurs acoustiques placés dans les hydrantes et d'un système de radio qui transmet l'alerte à une centrale informatique. En cas de fuite, un courriel où un SMS est envoyé aux personnes responsables.
Le Conseil général avait débloqué en mars dernier un crédit de 163'000 francs pour ce système de surveillance, développé par une entreprise bâloise. Un système qui devrait permettre de limiter drastiquement les pertes d'eau potable, estimée dans la commune à 60 millions de litres par an.