Non, le «tourné-monté» ne désigne pas une recette de gâteau de mariage. Il s’agit de la contrainte qu’ont dû observer, pour réaliser leur œuvre, les participants du Neuchâtel Super 8 Film Festival (lire encadré «Un exercice périlleux...») qui se déroule samedi dès 20h à la Cité universitaire.
S’interdire tout montage, c’est plutôt risqué, si l’on en croit Michel Antoine Chappuis, qui coorganise la manifestation avec David Cinelli. Pourtant, néophyte ou amateur éclairé, chacun peut se lancer et participer au concours. «Cette année, sur vingt inscrits, les deux tiers des candidats participent pour la première fois à cet événement.» Leur âge? «Entre 25 et 80 ans.» En résumé, les nostalgiques du super 8 et ceux qui le (re)découvrent.
Le burlesque cartonne
Pour cette édition 2017, les organisateurs ont vu des synopsis arriver de Suisse romande, de Zurich et même de France et d’Allemagne. S’ils ont déjà visionné les films, ils rencontreront...