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Neuchâtel: l'association la Lucarne sensibilise les écoliers à l'art aborigène

Dans un atelier, des élèves de 3e année Harmos du collège des Charmettes, à Neuchâtel, ont expérimenté l'art aborigène, un coton-tige à la main. Donné par une médiatrice de l'association la Lucarne, ce type d’activités se veut complémentaire à l'enseignement régulier.

21 déc. 2017, 17:34
Sous les regards prévenants des institutrices, les élèves de 3e année Harmos se sont appliqués à peinturlurer leur feuille de couleur. Photo: Christian Galley

Ce matin-là, après quelques histoires contées par Taline Ménédjian, de valeureux petiots se sont frottés à l’art aborigène en s’armant de cotons-tiges bariolés. Agés de 6 à 7 ans, les élèves de 3e année Harmos du collège des Charmettes, à Neuchâtel, recevaient la visite de la Lucarne, il y a une dizaine de jours. Cette association propose des ateliers de médiation culturelle pour les petits, mais aussi pour les grands. (lire l’encadré).

Imaginé par une ethnologue genevoise, l’atelier sur l’art aborigène permet d’expérimenter directement les techniques utilisées, avec des matériaux simples. Aidés par des patrons, les écoliers ont dessiné grenouilles, serpents ou encore tortues à coups de petits pointillés. Avec une bonne dose de concentration et une dextérité approximative, ils se sont conduits comme de vrais petits artistes. Il leur fallait rester attentifs aux précieux conseils de la médiatrice du jour: «Le but n’est pas de faire une œuvre d’art»....

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