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Dernière survivance d’un éphémère parti cantonal, le Ralliement de Corcelles-Cormondrèche se saborde

Après plus de 75 ans d’activités, le Ralliement de Corcelles-Cormondrèche, dernière section survivante d’un parti cantonal né en 1941, ne survivra pas à la fusion avec Neuchâtel. Certains de ses membres rejoindront les Vert’libéraux.

11 févr. 2020, 19:34
Le Ralliement quittera le Conseil général de Corcelles-Cormondrèche.

Bonne prise pour les Vert’libéraux du grand Neuchâtel dans la perspective des prochaines élections communales du 14 juin. Le parti récupérera les membres du Ralliement de Corcelles-Cormondrèche qui souhaitent poursuivre une activité politique dans la nouvelle commune fusionnée.

Le Ralliement, entré dans la vie politique locale avec fracas en 1944, a en effet décidé vendredi soir de mettre un terme à son existence à la fin de la législature. Celle-ci se terminera, dans les quatre communes fusionnées qui créeront la nouvelle Ville de Neuchâtel, le 31 décembre prochain.

Ce parti local, une sorte d’entente communale, était la dernière section d’un parti cantonal qui a connu son heure de gloire au milieu des années 1940 avec celui qui fut son unique conseiller d’Etat, Léo DuPasquier (lire encadré).

Au centre de l’échiquier

A Corcelles-Cormondrèche, le parti se situait au centre de l’échiquier politique, entre le PLR et l’alliance des Verts et du...

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