Le projet d’installation de panneaux photovoltaïques sur les toits du collège de Cressier n’attire pas suffisamment les villageois. La souscription lancée en août dernier par la commune n’a pas recueilli les suffrages escomptés.
Le concept invite les Cressiacois à investir dans Cressier solar, une société anonyme à fonder lorsque suffisamment de parts à mille francs seront vendues. Or, à l’échéance de la souscription (20 septembre) quelque 84’000 francs ont été levés, tandis qu’un minimum de 130’000 francs est requis pour lancer le moins ambitieux des deux projets de production d’électricité renouvelable (coût estimé à 189’000 francs).
Nouvelle échéance
Plutôt que d’abandonner ce projet qui a séduit une trentaine d’habitants de Cressier, les autorités communales ont décidé de remettre l’ouvrage sur le métier. «Nous avons décidé de prolonger le délai de souscription jusqu’au 30 octobre», indique Gérard de Montmollin.
Le conseiller communal chargé de l’urbanisme relève en outre que la prise...