Lors des crues, le «vieux port» du Landeron, presque quinquagénaire, souffre pour tenir le coup. Le garde-port a dû corder – trois fois – les pontons pour les stabiliser. Une technique de la dernière chance qui a toujours sauvé les bateaux de la noyade jusqu’à aujourd’hui. Rongés par le temps, les lourds pieux en bois ne suffisent plus à tenir les trois plateformes. En période de hautes eaux, toute la structure risque de se déboîter.
Le Conseil général du Landeron devra se prononcer, jeudi, sur le financement du lifting en profondeur de l’ancienne partie du port (environ 230 places sur un total de 338). Construit dans les années 2000, «le nouveau port» n’a pas encore pris une ride.
"La révovation ne coûtera pas un sou à la Commune"
La demande de crédit est lourde: 830 000 francs. Mais «la rénovation ne coûtera pas un sou à la commune», insiste le...