Tous les groupes interrogés sont unanimes: les Neuchâtelois n’hésitent pas à lâcher un bon paquet de petites pièces. Une nouvelle plutôt réjouissante: ce qui est placé dans le chapeau constitue le principal, voire l’unique revenu des artistes durant le Buskers festival, qui se tient jusqu’à samedi à Neuchâtel. Seuls ceux qui proposent leurs albums au public peuvent espérer engranger quelques deniers supplémentaires.
Les résultats des trois premiers soirs de la manifestation donnent le sourire. Même si aucun groupe approché ne se risque à articuler de chiffres, tous insistent sur la grande générosité des spectateurs. A comparaison internationale, les revenus engrangés sont meilleurs, mais le niveau de vie helvétique élevé y est sans doute pour quelque chose. Sans oublier que, depuis mardi, la météo a été des plus clémentes.
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«Tout bénéf’»
Pour ces saltimbanques en tout...