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Ces Neuchâteloises militent pour que le consentement entre dans le Code pénal

Les membres du Collectif neuchâtelois pour la grève féministe ont réalisé une action ce mercredi à Neuchâtel. Elles demandent que le viol soit redéfini dans le Code pénal.

25 nov. 2020, 20:25
Les militantes avaient choisi de se déguiser en «Servante écarlate», ce mercredi soir à Neuchâtel.

«La définition actuelle du viol dans le Code pénal se base sur une vision stéréotypée de ce qu’est réellement un viol.» Diane Matthys fait partie du Collectif neuchâtelois pour la grève féministe. Ce mercredi, une action a été réalisée dans la capitale cantonale à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

A lire aussi: Droits des femmes: les collectifs féministes suisses exigent la révision de la loi sur le viol

Après une distribution de flyers, une quinzaine de militantes se sont retrouvées devant les galeries Marval, au centre de Neuchâtel, dans le respect des mesures sanitaires. Elles ont choisi de se déguiser en «Servante écarlate», du roman de Margaret Atwood: «Ce livre décrit un monde dans lequel les femmes sont dépossédées de leurs droits et habillées selon leur capacité à être fertile et leur statut social.»

La cape rouge et le bonnet blanc...

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