A Neuchâtel, le Tribunal de police espérait que l’affaire, sur fond d’imbroglio amoureux, se règlerait à l’amiable. Les conditions posées (notre édition du 11 janvier) n’ayant pas été respectées, les quatre protagonistes étaient reconvoqués hier. D’un côté Patrick et Maeva*, une amie mauricienne (et non son ex-épouse comme indiqué précédemment), de l’autre Beatriz et Fernanda*, respectivement épouse et belle-sœur de Patrick, toutes deux Brésiliennes.
Une fois encore, la juge Florence Dominé a dû quelque peu lutter pour recadrer les débats: lors de la première audience, «j’ai essayé de régler votre situation matrimoniale. En moins de 24 heures vous n’avez pas respecté les règles; maintenant, je ne m’occupe que du pénal.» Ce qui n’a pas empêché les protagonistes de faire à nouveau étalage de leur mésentente profonde, chaque camp taxant l’autre de menteur.
Goût des «grosses fesses»
Alors qu’il était question de la situation financière de Patrick, Beatriz a insinué que...