Il ne faut surtout pas se fier au sourire accueillant de Joanne Bays. La sympathique instigatrice de la première «escape room» qui vient d’ouvrir à Neuchâtel est de mèche avec des trafiquants d’organes. Et elle s’est donné une peine de chien pour enfermer celles et ceux qui ont l’audace de franchir le seuil du 15 de la rue des Usines, à Serrières. Une équipe d’Arcinfo s’est glissée dans la peau des participants. Place au jeu...
Le principe d’une «escape room» est simple: les participants (des équipes de 2 à 6 personnes en règle générale) se laissent enfermer dans une pièce: ils doivent résoudre bon nombre d’énigmes pour s’extraire de cette situation inconfortable avant de recouvrer la liberté. Sauf que le parcours est bien plus compliqué qu’il n’y paraît...
S’échapper d’une pièce grâce à ses dons et sa perspicacité ne mène qu’à l’épreuve suivante. Où il faudra à nouveau jouer les...