Une nouvelle action de propagande à laquelle le président de commune de Peseux est mêlé de près soulève l’ire des partisans de la fusion avec Neuchâtel, Corcelles-Cormondrèche et Valangin.
Il y a une quinzaine de jours, le groupe Ensemble à gauche du Conseil général avait déjà contesté une mesure prise par l’exécutif, qui a décidé de verser 5000 francs aux deux comités, partisans et opposants, comme il l’avait fait lors de la première votation. Le chef du Service des communes, Pierre Leu, avait alors estimé «sujette à caution» la légalité de cette décision.
Un libellé prêtant à confusion
Cette semaine, un nouvel élément énerve les partisans de la fusion. Des tous ménages du comité «J’aime Peseux - Je reste libre!» ont été distribués. Jusque-là, rien que de très normal. Le hic, c’est que cette propagande est accompagnée d’un bulletin de versement à l’ordre de «Commune de Peseux non à la...