Un internaute chaux-de-fonnier tombe nez à nez avec une camionnette aux plaques françaises sous un lampadaire de la Métropole horlogère. Apprenant que les employés de cette société de l’Hexagone réalisent un mandat pour l’entreprise neuchâteloise Viteos, ce bon Meuqueux s’indigne de cette situation sur Facebook.
La mayonnaise prend: une grosse poignée de «facebookiens» s’emporte sur cette insupportable ingérence tricolore. Un commentaire éclairé met tout de même en garde les acerbes internautes: c’est peut-être que nous n’avons pas les compétences, en Suisse, pour réaliser les travaux confiés à Rei-Lux... C’est effectivement le cas, selon les explications données par Viteos.
Mesures de l’oscillation
Comme toutes les installations électriques, les lampadaires sur le domaine public doivent présenter des gages de sécurité. Personne n’a envie de recevoir un mât d’éclairage sur la tête. Concrètement, l’ordonnance sur les installations à courant fort «nous impose tous les cinq ans, un contrôle mécanique de tous nos candélabres...