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Sur les traces d’Amélie, ou quand un village français travaillait pour les horlogers de La Chaux-de-Fonds

Baliser un chemin franco-suisse entre Montécheroux et La Chaux-de-Fonds? C’est le projet porté par nos voisins français. Clin d’œil touristique à l’histoire de l’horlogerie.

08 juil. 2021, 18:12
Myriam Bourhis (à droite), responsable du Musée de la pince de Montécheroux, avec Christine Bouquin, présidente du département du Doubs.

Mais qu’est-ce qui a pris cette poignée de voisins français, ce jeudi 8 juillet, de marcher longtemps sous la pluie? Ils sont partis sac au dos, à 6h30, de Montécheroux, au-dessus de Maîche, en Bourgogne-Franche-Comté, sous des trombes d’eau, pour rejoindre… La Chaux-de-Fonds. Un voyage de près de 40 kilomètres. Et pas tout plat, en plus…

En fait, ils se sont lancés sur «le chemin d’Amélie»: une marche mémoriale pour Amélie Curvier, qui aurait été la dernière messagère, au 19e siècle, à transporter les outils d’horlogerie fabriqués à Montécheroux pour la Métropole horlogère. L’idée de créer un sentier franco-suisse pour honorer ce patrimoine a fait son chemin, depuis l’arrêt de l’activité industrielle dans ce village de 500 habitants, il y a quatre ans.

Bientôt un nouveau parc côté français

Les initiateurs du projet souhaitent que «le chemin d’Amélie» soit reconnu et balisé. A la pause de midi, la présidente de...

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