C’est lundi, au cours d’une séance d’information, que le personnel de VAC a appris le licenciement à venir de 50 d’entre eux. «Désormais, nous leur laissons dix jours pour proposer leurs solutions durant la période de consultation, telle que stipulée dans le cadre d’un licenciement collectif», explique le directeur général Michel Pittet. Revenu à bord début 2016, il a déjà été le directeur général de la firme chaux-de-fonnière de vente par correspondance entre 1987 et 2007, pour ensuite laisser la place, à Marius Meijer, jusqu’à fin 2015.
Des réseaux sociaux transpirent le souci que des Suisses plutôt que des frontaliers restent sur le carreau. Sera-ce le cas? «Sur les 114 employés que compte notre société, seuls 5 ou 6 sont frontaliers», précise d’abord Michel Pittet.
Puis, il répond qu’aucune liste exhaustive des personnes qui seront licenciées n’a encore été dressée. Notamment du fait de l’ouverture de la période...