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Sans Anglais, pas d’horlogerie neuchâteloise?

Grâce aux amisMIH et au British Horological Institute, les liens entre les Montagnes neuchâteloises, la Suisse et le Royaume-Uni sont mis en évidence. Un parterre de spécialistes a évoqué ces liens samedi à La Chaux-de-Fonds à l’occasion de la Biennale du patrimoine horloger.

04 nov. 2018, 16:59
Anthony Randall, physicien et horloger britannique, lauréat du Prix Gaïa 2003.

Vendredi soir, le conseiller fédéral Ignazio Cassis a évoqué Daniel Jeanrichard, dont la légende veut qu’il soit à l’origine de l’industrialisation de l’horlogerie dans les Montagnes neuchâteloises. L’arrière-arrière-arrière-petit-neveu de l’horloger de La Sagne travaille d’ailleurs dans l’équipe du ministre des Affaires étrangères.

Mais Ignazio Cassis a omis d’évoquer une autre moitié de cette légende. C’est en réparant la montre d’un maquignon anglais que Daniel Jeanrichard aurait découvert l’horlogerie. La région devrait donc à un sujet de sa majesté la base du savoir-faire qui la fait aujourd’hui vivre et resplendir dans le monde entier.

C’est donc en toute logique que le British Horological Institute est venu partager ses 160 ans d’existence à La Chaux-de-Fonds, samedi. Un parterre de spécialistes britanniques a évoqué, dans le cadre d’un événement organisé conjointement avec les amisMIH, les liens entre horlogeries britannique et suisse d’hier à aujourd’hui. L’événement se reproduira à Londres, puis, si intérêt, au...

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