«Il ne faut pas que le lac des Taillères gèle!», «Il ne faut pas que le lac des Taillères gèle!», «Il ne faut pas que le lac des Taillères gèle!» Cette phrase a été répétée si souvent pendant l’assemblée constitutive des nouvelles autorités politiques à La Brévine lundi soir, qu’on avait l’impression d’assister à une séance d’incantation.
Mais qu’avaient donc les membres présents à prononcer si souvent cette formule?
«Au vu de la crise sanitaire, les mesures à respecter seraient compliquées à mettre en place, si le froid transforme l’étendue en patinoire», explique Jean-Maurice Gasser, qui, après dix ans de dévouement total, a renoncé officiellement de poursuivre son mandat au sein de l’exécutif lors de la prochaine législature.
Casse-tête organisationnel
«Première question: comment faire avec la vente de saucisses, si des stands sont dressés près du lac? En installant des tables, le lieu deviendrait un établissement public où seules quatre...