Dans l'interview du conseiller communal chaux-de-fonnier responsable de l'Instruction publique Didier Berberat, publiée dans notre édition d'hier, sur l'avenir de l'école neuchâteloise, une mauvaise interprétation nous a fait écrire que les grandes communes (sous-entendu les villes), si elles ne veulent pas que l'école primaire soit cantonalisée, pourraient entrer en matière sur une cantonalisation à terme de l'école secondaire. Didier Berberat nous prie de préciser qu'il n'en est rien, et que c'est toute l'école qui doit rester communale, ou éventuellement devenir régionale, mais pas cantonale. /réd
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