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Pouillerel, entre coin de nature et terrain de sport ou de loisirs

Après une manifestation, la question de l'accès aux lieux divise.

21 févr. 2012, 00:01
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"C'est vrai, la nature est de plus en plus sollicitée." Le constat est de Dominique Robyr Soguel, adjointe au chef du Service de l'aménagement du territoire (SAT). "Nous gérons environ 150 manifestations par an. La plupart des organisateurs respectent la procédure, qui est de s'annoncer auprès du SAT."

Le mois dernier, les organisateurs de la première Chrono Pouille ont sauté cette étape. Or, explique Blaise Fivaz, chef du Service du domaine public (SDP), les organisateurs de manifestations "doivent informer le SDP et le SAT". Et lorsqu'un organisateur se présente au SDP, "on lui fournit toute la marche à suivre". De plus, "lorsque nous donnons notre accord, nous précisons toujours que c'est sous réserve de l'accord du canton".

Dans le cas de Chrono Pouille, se souvient Blaise Fivaz, "une personne a apporté au guichet l'affiche annonçant la manifestation". Le SDP n'a cependant pas contacté l'organisateur pour l'informer de ses obligations. Pourquoi?...

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