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Mikhlaï Kalachnikov et le AK-47, symboles de la violence occidentale

La compagnie Les Patries imaginaires présente un spectacle tiré d’un texte d’Olivier Rohe.

03 oct. 2018, 00:01
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Robustes, fiables, précis et efficaces. C’est ainsi que Mikhlaï Kalachnikov et son «œuvre», le fusil d’assaut AK-47, peuvent être décrits. Dans son nouveau spectacle, Perrine Maurin et sa compagnie Les Patries imaginaires interrogent, comme à leur habitude, les violences du monde.

Tiré d’un texte du romancier français Olivier Rohe, «Ma dernière création est un piège à taupes», le spectacle sera présenté demain et vendredi au Temple allemand, à La Chaux-de-Fonds.

Selon les mots de Perrine Maurin, le texte d’Olivier Rohe «éclaire notre temps d’une lumière tragique et crue qui révèle une inapaisable fascination pour la violence et la mort». Parfait pour celle qui a toujours désiré monter un spectacle sur le sujet.

Destruction du plateau

Et d’ajouter: «Je n’aime pas les armes, je n’en ai jamais touché. Pourtant ce qu’il y a derrière l’arme, le fait de tuer, me semble essentiel à interroger aujourd’hui.» Au travers l’œuvre d’Olivier Rohe, qui...

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