Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Mais que deviennent nos bistrots de campagne?

Les restaurants ruraux des Montagnes neuchâteloises et des Franches-Montagnes ne boivent pas du petit-lait. Dans ces régions, les débits de boissons deviennent en effet une denrée de plus en plus rare.

12 oct. 2017, 12:35 / Màj. le 12 oct. 2017 à 13:23
Dans certains villages, il est devenu très compliqué de boire une bière en soirée.

«Après la fermeture de l’Hôtel de la Couronne, il est devenu très compliqué de boire une bière en soirée. Il y a bien l’Hôtel de l’Ours, mais il n’ouvre pas très souvent», lâche Claude Gagnebin, administrateur de la commune des Bois.

Ce constat n’est pas propre à ce village jurassien. Les auberges en milieu rural filent du mauvais coton depuis des années, voire des décennies. Des 130 bistrots que comptaient les Ponts-de-Martel en 1806, il n’en reste plus que... deux !

Les débits de boissons dans les campagnes des Montagnes neuchâteloises et des Franches-Montagnes deviennent une denrée de plus en plus rare.

Ils ferment définitivement, changent d’affectation ou connaissent une valse des tenanciers. Tour d’horizon.

Logements aux Chasseurs

Le Restaurant de La Croix-Blanche, à La Sagne, est l’un des derniers à avoir mis la clé sous le paillasson. Après avoir été aux fourneaux durant des décennies, Jean-Pierre Tissot, son patron,...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias