Essayé pas pu. Condamné en septembre dernier à La Chaux-de-Fonds pour escroquerie, abus de confiance, faux dans les titres, un comptable du Haut avait fait appel contre les 26 mois de peine privative de liberté, dont 11 ferme, dont il avait écopé. Pour éviter la prison.
Mais la cour pénale du Tribunal cantonal lui a donné tort. Mardi après-midi, elle a confirmé presque mot pour mot le premier jugement. Sauf que le condamné pourra sans doute purger sa peine en semi-détention, le soir et le week-end au trou, le jour au travail. Pour qu’il puisse travailler et rembourser ses lourdes dettes.
L’avocat qui a repris il y a une semaine à peine le dossier de ce comptable plutôt indélicat n’avait que cette carte du travail nécessaire du condamné pour demander une peine compatible avec un sursis total, soit 24 mois au plus. Puisque l’intéressé avait admis tout le reste. En...