On a vu, et entendu, des gouttes d’eau tomber du ciel et s’évaporer en petits nuages; des sèche-cheveux et des grille-pain dialoguer avec le son d’un piano et d’un violoncelle...
Puis Les Amplitudes ont fait entendre leurs dernières notes dimanche soir au TPR sur «La mesure du désordre», une chorégraphie de Thomas Hauert. Car cette année, le festival a entraîné dans son sillage l’Association Danse Neuchâtel, ainsi que deux autres nouveaux partenaires, Quartier général et la HEM Genève-Neuchâtel.
Cinq jours durant, les neuf événements qui ont ponctué cette 8e édition ont été largement plébiscités. La fréquentation a frisé le millier de spectateurs, un objectif plus qu’atteint, se sont réjouis les organisateurs. «L’affluence n’a jamais été aussi bonne. Excepté au temple Farel, nous avons joué au maximum des jauges des différents lieux d’accueil», commente Yvan Cuche, codirecteur de l’ABC et membre du comité organisateur.
«Un truc de rêve!»
L’invité de ce...