Le moniteur neuchâtelois reconnu coupable, en janvier dernier, de pornographie et d’actes d’ordre sexuel avec son élève mineure, a été éloigné du club de judo dans lequel il enseignait. Le comité a annoncé sa mise à pied pour une durée de deux ans.
Le 23 février, l’un des dirigeants nous avait pourtant déclaré le contraire, affirmant que le comité avait décidé de suivre la justice neuchâteloise. Cette dernière n’a en effet pas prononcé d’interdiction d’exercer une activité en contact avec des mineurs à l’égard du moniteur de judo. Ce revirement de situation interpelle.
«Il semble que ces informations erronées découlent d’une mauvaise compréhension de notre coprésident, qui n’était pas en charge du dossier», explique l’autre coprésident du club. Alors, couac de communication ou réaction aux nombreuses critiques?
Une mesure «cohérente»
Après l’annonce...