Y a-t-il un climat propre au lac des Taillères? Pas seulement celui qui permet à cette étendue d’eau de la vallée de La Brévine de se transformer, comme en ce froid et sec mois de décembre, en vaste patinoire à ciel ouvert. Non, on veut parler ici de celui qui influence tous ceux qui, heureux d’échapper au brouillard ou frustrés de ne pouvoir chausser les lattes, viennent s’y défouler. Tout se passe dans le calme et sans éclats. Pourtant, relève Jean-Maurice Gasser, conseiller communal brévinier en charge du tourisme, «personne ne gère; tout se fait automatiquement». «Cela pourrait être une grosse catastrophe, mais les choses se mettent en place naturellement», résume Jean-Pierre Schneider, «Monsieur lac des Taillères», qui se dit «très impressionné» par l’attitude responsable des visiteurs.
Parking dans les champs
Tout se fait automatiquement? Une manière de rappeler que la commune de La Brévine n’envoie personne de ses...