21h30. C’est l’heure à laquelle Christophe Maraux a décidé d’«entrer» chez René Jacot, lundi soir. Par téléphone, donc. Le tout frais vice-président du FC La Chaux-de-Fonds et l’éternel boss de l’Olympic n’ont pas eu le temps d’apprendre à se connaître. Car la discussion a très vite dérapé.
«Il a menacé de m’empoigner par la peau du cou pour me sortir du stade», s’étrangle le patron du Résisprint. «En 60 ans de carrière, on ne m’avait jamais traité comme ça...» Le Français dément avoir employé ce vocabulaire. Mais il admet avoir «montré les dents. C’est normal, quand on vous vole d’entrée dans les plumes... J’estime qu’on a le droit d’appeler les gens jusqu’à 22 heures...»
"Une regrettable erreur"
La raison de ce coup de fil qui tombait en plein Belgique - Japon? Une collision entre l’entraînement de l’Olympic et le match amical finalement disputé hier soir par le FCC et le...