Jocelyne Tissot, présidente de la section locloise de la Société protectrice des animaux, confie ses coups de coeur et coups de gueule pour l'année 2010. Les lecteurs les plus attentifs noteront que l'effet Unesco, qui a distingué Le Locle et La Chaux-de-Fonds en 2009, perdure... Preuve que le temps passe trop vite!
Pour vous, qu'est-ce qui a marqué l'année 2010 dans les Montagnes?
Je pourrais bien sûr citer les événements régionaux importants tels que l'entrée des deux villes dans le Patrimoine mondial de l'Unesco, les projets d'évitement de la ville du Locle et de déchetterie au Crêt du Locle ou encore la reprise économique. Mais ces faits m'inspirent surtout l'idée que les habitants des Montagnes peuvent réussir à réaliser des projets ensemble et qu'ils ont gardé un esprit combatif lorsqu'il s'agit de lutter pour leur région ainsi que pour y créer et y conserver des emplois.
A qui offririez-vous une rose de Noël?
Il y a une semaine, la présidente de la SPA du Val-de-Travers est décédée de manière inattendue.
Pour ma part, j'ai surtout perdu une amie. Je lui offre cette rose, ainsi qu'à tous ceux qui, comme elle, savent s'investir pleinement pour défendre une cause qui leur est chère.
A qui, en revanche, infligeriez-vous une salée?
Aux planificateurs responsables de la circulation routière dans la région. Je trouve bon nombre de limitations tout à fait abusives, non seulement quant à la vitesse mais aussi pour des sens uniques absurdes qui ne font qu'augmenter le passage des véhicules par le centre-ville. Ces mesures paraissent souvent mal pensées, ou en tout cas elles sont difficiles à comprendre. Et cela donne plutôt l'impression aux habitants d'être punis sans qu'ils n'y puissent rien.
Seriez-vous prêt à déménager ailleurs qu'au Locle?
Je suis née à Saint-Imier, j'ai vécu à Londres puis à Bienne, ainsi que quelques années à La Chaux-de-Fonds. Je me suis ensuite installée au Locle pour des raisons professionnelles il y a plus de trente ans.
Je m'y suis petit à petit construit un réseau de connaissances et j'y ai notamment des attaches par la SPA. En fin de compte, il me semble que l'on peut se plaire partout où l'on se trouve (même à La Chaux-de-Fonds ), pour peu que l'on ait la chance de pouvoir s'intégrer à cet endroit. Cela dit, je ne souhaiterais a priori pas déménager dans le Bas du canton, où je travaille pourtant
Pour vous, qu'est-ce qui a marqué l'année 2010 dans les Montagnes?
Je pourrais bien sûr citer les événements régionaux importants tels que l'entrée des deux villes dans le Patrimoine mondial de l'Unesco, les projets d'évitement de la ville du Locle et de déchetterie au Crêt du Locle ou encore la reprise économique. Mais ces faits m'inspirent surtout l'idée que les habitants des Montagnes peuvent réussir à réaliser des projets ensemble et qu'ils ont gardé un esprit combatif lorsqu'il s'agit de lutter pour leur région ainsi que pour y créer et y conserver des emplois.
A qui offririez-vous une rose de Noël?
Il y a une semaine, la présidente de la SPA du Val-de-Travers est décédée de manière inattendue.
Pour ma part, j'ai surtout perdu une amie. Je lui offre cette rose, ainsi qu'à tous ceux qui, comme elle, savent s'investir pleinement pour défendre une cause qui leur est chère.
A qui, en revanche, infligeriez-vous une salée?
Aux planificateurs responsables de la circulation routière dans la région. Je trouve bon nombre de limitations tout à fait abusives, non seulement quant à la vitesse mais aussi pour des sens uniques absurdes qui ne font qu'augmenter le passage des véhicules par le centre-ville. Ces mesures paraissent souvent mal pensées, ou en tout cas elles sont difficiles à comprendre. Et cela donne plutôt l'impression aux habitants d'être punis sans qu'ils n'y puissent rien.
Seriez-vous prêt à déménager ailleurs qu'au Locle?
Je suis née à Saint-Imier, j'ai vécu à Londres puis à Bienne, ainsi que quelques années à La Chaux-de-Fonds. Je me suis ensuite installée au Locle pour des raisons professionnelles il y a plus de trente ans.
Je m'y suis petit à petit construit un réseau de connaissances et j'y ai notamment des attaches par la SPA. En fin de compte, il me semble que l'on peut se plaire partout où l'on se trouve (même à La Chaux-de-Fonds ), pour peu que l'on ait la chance de pouvoir s'intégrer à cet endroit. Cela dit, je ne souhaiterais a priori pas déménager dans le Bas du canton, où je travaille pourtant