Accusé d’être un «squatteur de l’espace public» (notre édition du 14 novembre), Steeve Franchon, responsable de l’entreprise locloise du même nom, n’a pas apprécié. N’ayant pas été en mesure de répondre à nos messages avant le premier article, il a souhaité prouver sa bonne foi aujourd’hui. «Je ne suis pas un tricheur!», assure-t-il. Certes, il admet que la loi ne l’autorise pas à s’octroyer des places de parc du domaine public, ni en posant des panneaux «Réservé» à son intention sur ladite place, ni en apposant des billets sur le pare-brise des riverains qui s’y parquent.
«Mais lorsque j’ai projeté de déménager mes locaux commerciaux à la Grande-Rue 7, on m’a affirmé que des places m’étaient réservées. Et d’ailleurs, deux places sont mentionnées dans mon bail à loyer, soit celles de la façade.» Le hic, c’est que pour accéder à ces deux places, le plus simple est que le...