Comme pour les communales d’il y a quatre ans, l’UDC chaux-de-fonnière s’apparente avec le NPL, «car nous avons beaucoup de points de convergence». Et «elle vise comme but», selon les termes de Marc Arlettaz, second sur la liste après Jean-Charles Legrix, «de conserver notre siège, et non pas d’en ambitionner un second. Un objectif plausible et réaliste.»
Au niveau du Conseil général, le parti met le cap sur une légère augmentation du nombre de ses conseillers généraux au sein du législatif. «Avec notre panel de candidats, nous avons mis toutes les chances de notre côté, pour voir monter leur quantité de six à sept ou huit.»
Dans la législature qui s’achève, Marc Arlettaz peine à dénicher des éléments positifs. Il évoque bien sûr «celle qu’il aurait fallu plutôt appeler l’affaire du Conseil communal, que celle Legrix. Elle a duré pendant plus d’un an et a mobilisé...