Ils étaient une septantaine aux Brenets lundi, et une cinquantaine au Locle hier mercredi, à avoir assisté aux séances d’information sur la fusion de leurs communes, avant le scrutin du 28 juin.
«Une assemblée plutôt âgée», relevait une Brenassière mercredi soir, déçue que la population active et plus jeune ne s’intéresse pas davantage au débat.
Risque de tutelle faute de combattants
Une question la taraudait. «Il y a beaucoup d’usines au Locle, et ça se construit énormément. Je n’ai pas très envie que Les Brenets se transforment en zone industrielle», a-t-elle lancé. Le conseiller communal brenassier Stéphane Reichen l’a rassurée. «Il n’y a plus de zones constructibles pour l’industrie aux Brenets», a-t-il expliqué. «Et la nouvelle loi sur l’aménagement du territoire (LAT) n’autorise plus l’ouverture de zones», a renchéri Cédric Dupraz.
Question mobilité, le but est de développer l’offre des bus dans les deux communes, qui devraient logiquement ne former...