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Bill Holden rêve de voir baisser l'avarice

30 déc. 2010, 09:04
Jazzman, compositeur et percussionniste étasunien, Bill Holden, qui a grandi dans le Tennessee, après moult pérégrinations, a posé ses valises et s'est installé à La Chaux-de-Fonds il y a de cela bien longtemps.

Pour vous, Bill Holden, qu'est-ce qui a marqué l'année 2010 dans les Montagnes?

L'évolution des tensions entre les milieux hospitaliers des différentes régions du canton. Le fait que la répartition des secteurs selon des spécificités découle plutôt d'une lutte politique entre le Haut et le Bas est loin d'être prometteur.

A qui offririez-vous une rose de Noël?

Toutes les institutrices et instituteurs méritent un bouquet entier pour le travail héroïque qu'ils accomplissent quotidiennement. Une partie considérable de l'avenir est entre leurs mains, donnons-leur les moyens d'assurer cet avenir!

A qui, en revanche, infligeriez-vous une salée?

Je mettrais volontiers une grosse baffe «thérapeutique» à chacun et chacune, pris par cette maladie qui, il me semble, a rejoint le stade de quasi-épidémie: l'avarice.

Seriez-vous prêt à déménager au Locle?

Mon cœur, tendre, bat pour La Chaux-de-Fonds et sa vitalité culturelle (si, si!). J'ai créé de fortes attaches à «La Tchaux» avec le temps. En fait, Le Locle me semble comme une ville sœur que j'aime visiter selon ce qui s'y passe.

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