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«Au moins, cette grippe aviaire ne se transmet pas à l’homme»

Au Joratel, Claude-Eric Robert veille à entraver toute contagion.

14 déc. 2016, 00:58
ARCHIVE - Die Huehner der Eierproduzenten-Familie Gander in Ennetmoos, Kanton Nidwalden , tummeln sich am Donnerstag 16. Februar 2006 im Wintergarten ihrer "Besonders tierfreundlichen Stallung" (BST). - Die Schweizer Bauern haben im laufenden Jahr trotz hoeherer Produktion kaum mehr verdient, wie das Bundesamt fuer Statistik BFS am Montag 6. Oktober 2008 mitteilte. Die Gesamtproduktion stieg im Vergleich zum Vorjahr um schaetzungsweise 2,6 Prozent auf rund 10,9 Milliarden Franken, die Produktionskosten erhoehten sich um rund 2,7 Prozent. Die Haelfte der Produktion entfiel auf tierische Erzeugnisse, die Getreideproduktion ging zurueck. (KEYSTONE/Urs Flueeler) SCHWEIZ LANDWIRTSCHAFT GESAMTRECHNUNG

«A la louche, on dénombre 130 000 volailles dans le canton», informe Pierre-François Gobat, le vétérinaire cantonal neuchâtelois. «Propriétés de 750 détenteurs. Ces trois dernières semaines, la police a effectué des contrôles chez 725 d’entre eux. Et, de notre côté, au Scav, nous avons fait des examens chez les 25 autres, chefs de gros élevages, importants au niveau économique.»

Il s’agissait de regarder si chacun avait pris les mesures indispensables pour protéger ses poules contre le virus H5N8, à l’origine d’une nouvelle grippe aviaire. «Au final, il a été constaté que seuls 7% des propriétaires de volailles étaient non conformes et ont fait l’objet d’un suivi du Scav.»

Le virus auquel on a affaire est très agressif et hyperinfectieux entre les volailles. «S’il s’introduit dans un grand élevage, extrêmement rapidement il en décimera une partie importante. Les dégâts économiques seront ainsi considérables. Et si on a des volailles d’ornement,...

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