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Au Locle, la fusion n’est pas un but en soi

Fusion oblige, le nombre de communes neuchâteloises a été divisé par deux en moins de dix ans. Que pensent les partis politiques du nouveau projet dans le Haut?

31 janv. 2017, 00:20
cg le locle et les brenets

Les Brenets, 09 05 2016
Photo : © David Marchon

A l’instar de la population, les élus du Conseil général des Brenets et du Locle se posent encore beaucoup de questions sur les détails et conséquences d’une fusion entre les deux communes. Néanmoins, l’accueil est plutôt favorable au sein des partis. Petit tour d’horizon dans les deux communes, à commencer par Le Locle.

«Cela ne résoudra pas le manque de forces vives» «Le PLR est attentif à sauvegarder les particularités et à défendre la proximité, et n’est pas un fervent adepte des fusions», répond Anthony von Allmen. «Mais dans le cas du Locle et des Brenets, il existe une proximité géographique et un même tissu économique et industriel, qui fait que nous partageons un certain nombre de problématiques, plus qu’avec une commune comme La Brévine, par exemple. Une autre réalité est le contexte très défavorable au niveau économique, liée en partie à la politique péréquative du canton. Il est à...

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