Depuis dimanche dernier, au Locle, à la Luxor Factory, qui accueille des artistes à résidence, KoQa, de son vrai nom Arthur Henry, bosse. Cor des Alpes et Beatbox lui servent d'instruments de musique. En pleine création, il fignole des concerts, sortes de performances musicales dont il cherche les ingrédients depuis le début de la semaine. Le premier sera donné vendredi à 21h, puis suivront encore un, samedi à 18h et un autre encore dimanche à 17h.
Le public pourra entendre les sons planants du didgeridoo bien de chez nous se mêler à des sons produits de sa voix et de rythmes électros. "Du coup, ceux qui voudraient quelque chose de nouveau avec le cor des Alpes le trouveront. Et ceux qui attendent du neuf des Beats électros aussi. Tous les auditoires seront interpellés", pense KoQa, qui apprécie que les auditoires se décloisonnent et que sa musique touche un large éventail de personnes.
Sa démarche à découvrir dans nos éditions payantes de demain mercredi.
bout! Entrés libre