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Un joli casse-tête à la suite de la faillite de l’usine Miserez

Ce fleuron de l’industrie horlogère a cessé ses activités en 2015.

16 juin 2016, 00:46
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Pertinent, le coup de plume du député vert Ivan Godat. L’élu du Bémont vient d’interpeller le Gouvernement jurassien au sujet de la faillite de l’ancienne usine de boîtes de montres BGM Miserez SA à Saignelégier, dont la liquidation a été prononcée en mars dernier.

«Le passé industriel du site peut laisser penser qu’une pollution des sols n’est pas à exclure», s’inquiète le politicien franc-montagnard. D’où le titre direct de sa question écrite: «Fermetures d’usines et dépollution: est-ce au contribuable de payer?»

Dans le cas qui nous intéresse, la situation semble un brin plus compliquée qu’elle n’y paraît.

Patate chaude

La faillite de la firme a été annoncée en mai 2015. Depuis, son directeur Bernard Miserez a cessé toute activité dans les locaux sis à la rue du Chasseral, dont une partie est louée à des locataires privés, des musiciens, un carrossier. «J’ai payé tout le monde. C’est...

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