Un monde pour le moins opaque que celui des taxis. Alignement d’heures, repos pas forcément réguliers, courses encaissées au noir, salaires pas toujours déclarés correctement en fonction du travail effectué, etc. On retrouve un peu de tout ceci dans le récit d’un ancien employé d’une compagnie delémontaine.
Cette personne a travaillé pendant plusieurs mois pour cette compagnie. Elle le dit elle-même: elle a accepté certaines méthodes qu’elle aurait dû refuser. Comme par exemple encaisser un salaire qui pouvait grimper jusqu’à 3800 francs par mois, alors que ses fiches de paie faisaient état d’un montant encaissé variant entre 500 et 800 francs. Comme il faut bien vivre, la personne a admis cette pratique, qu’elle assure être courante dans le monde des taxis.
Elle a néanmoins demandé à son ancien patron de régulariser sa situation envers les assurances sociales, notamment. Refus de ce dernier. En gros: tout le monde est gagnant. C’est...