Le malamute, dont Sébastien Bourquin utilisera quatre spécimens ce week-end, c’est un peu un diesel, pour les courses de chiens de traîneaux, dont celle de Saignelégier (lire encadré). «Sur un sprint de 8 km, les chiens sont à fond tout le long; sur 35 km, il faut les gérer un peu plus. Les malamutes partent généralement fort puis tiennent un rythme de croisière», compare le citoyen de Sonceboz, au palmarès duquel on trouve par exemple une troisième place lors des championnats de Suisse 2017, aux Mosses (VD).
On retrouvait alors le musher du Jura bernois dans la catégorie malamutes, samoyèdes et groenlandais. «Sur les courses comme celles de Saignelégier, la plupart sont des huskys, tout comme lors de compétitions de plus grande envergure, comme la Yukon Quest (réd: une course de 1000 miles, environ 1600 km, entre le nord-ouest du Canada et l’Alaska).»
Mais lui est bel et bien tombé...