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Récit de guerre au-delà de l'imaginable

Vernissage du livre d'Adrienne Aebischer-van Schilt dans un home à La Neuveville.

30 sept. 2013, 00:01
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"Mais oui, souviens-toi du Hollandais" Illustrations et fac-similés de divers documents, conclusion de Henry Spira. Editions Alphil, Neuchâtel. Jacques Barnaud, responsable d'édition. Disponible en librairie et à Mon Repos

L'atelier du home Mon Repos à La Neuveville a accueilli le vernissage de "Mais oui, souviens-toi du Hollandais", premier opuscule publié par Adrienne Aebischer, avec une conclusion d'Henry Spira. Un coup de poing pour le lecteur.

Connue comme artiste-peintre, la dame octogénaire pensionnaire du home écrit aussi, avec talent et depuis longtemps. Depuis le temps de l'école à Charmoille (ancienne commune fusionnée dans La Baroche, dans le district de Porrentruy), où elle est née, dans une famille nombreuse qui n'avait comme seuls défauts que d'être pauvre et d'avoir un père hollandais.

"Le propos de ce récit n'est pas de condamner les coupables pour avoir fait le malheur de huit enfants et de leurs parents", écrit l'auteure en première phrase. Elle pardonne...

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