Le cauchemar n'est pas terminé pour Antoine Flück et son épouse Eliane. Même tarif vis-à-vis d'une de leur sommelière. Ils devront retourner au prétoire. Quand? Pas sûr que le Tribunal cantonal juge l'appel des trois agresseurs cette année encore.
Les avocats du trio infréquentable estiment que la cour présidée par Pascal Chappuis assisté des juges Michel Rion et Michel Dind a eu la main trop lourde au moment du verdict. Un peu comme leurs clients ce funeste 9 septembre 2013, après minuit. Les deux dames, grièvement blessées, resteront marquées à vie.
Un cas épineux
Le trio d'hommes de loi l'affirme en choeur: c'est contre la mesure de la peine que leurs recours seront basés. Pour le cerveau de la bande, qui avait également molesté deux employés de la Raiffeisen de Bassecourt huit mois plus tôt lors d'un hold-up qui s'était aussi assimilé à un fiasco - aucun butin, comme au...