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Les agents de sécurité sentent le vent du boulet

Ton sévère mais verdict mesuré dans l’affaire du dancing le Perroquet, à Reconvilier.

27 janv. 2016, 01:19

Le procureur Pierre Voisard voulait un jugement sévère contre les trois agents de sécurité du dancing le Perroquet, à Reconvilier, lors de son réquisitoire de la semaine dernière. Il demandait des peines de prison, en partie sans sursis pour l’un des trois auteurs dont les antécédents ne sont pas exemplaires (notre édition de mercredi dernier). Sur la forme, il a été suivi par le Tribunal régional de Moutier, qui condamne les prévenus pour tentatives de lésions corporelles graves.

En revanche, pour ce qui concerne la mesure de la peine, le verdict a été un peu moins sévère. Le juge Jean-Mario Gfeller s’est contenté de demander des peines pécuniaires sous forme de jours-amende (échelonnés entre 270 et 330) contre les trois agents de sécurité kosovars qui ont largement outrepassé leurs devoirs et leurs droits un soir de juin 2013 dans les rues de Reconvilier.

Affaire piquante

Le pote de leur victime...

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