David Eray, il y a eu ce "couac" avec le recrutement de la nouvelle chef du service de l’environnement...
Son engagement s’est fait sur l’avis de deux entités, mon service et celui des ressources humaines. Après 6-7 sept semaines, on a remarqué que ce choix n’était pas judicieux. Cette dame ne s’intégrait pas à l’équipe. Le Gouvernement a décidé de s’en séparer. Elle a adressé un recours auprès du tribunal cantonal administratif. Mais son salaire lui a été versé jusqu’à la fin juin. Pas un jour de plus. Le nouveau responsable du service sera peut-être à chercher parmi les candidatures qui ont été recalées. Avec le rec ul, je demeure persuadé qu’on a fait les choses comme on devait le faire. Peut-être aurais-je dû anticiper la communication, avant que cette affaire ne filtre dans la presse. Une erreur de jeunesse...
L'interview complète dans L'Impartial de ce samedi.