Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«L’APEA, c’est une machine à broyer des enfants!»

Grogne contre une nouvelle organisation jugée rigide.

17 déc. 2015, 02:01
dysfonctionnements de l’APEA ??? cp a Courtelary de gauche a droite:Jacot-Droz-Piervittori.photo Stephane Gerber/Bist

Depuis janvier 2013, le régime de protection de l’adulte et de l’enfant a été unifié au niveau fédéral, ce qui a contraint les cantons à mettre en place de nouvelles structures dites APEA.

Dans le canton de Berne comme partout en Suisse, les autorités tutélaires relevant des communes ont été supprimées et une Autorité de protection de l’enfant et de l’adulte a été mise en place. Pour le Jura bernois, l’APEA a son siège à Courtelary. Elle est présidée par l’ancien procureur Pascal Flotron. Cette structure fonctionne depuis 2013 et a pour rôle notamment de résoudre des conflits sur la garde d’enfants ou sur le placement de personnes en difficultés. Partout en Suisse, les APEA focalisent l’attention depuis trois ans qu’elles existent. Les décisions qu’elles sont appelées à prendre font des heureux et des malheureux lorsque deux parties se déchirent pour décider de l’avenir d’un enfant par exemple.

Hier au...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias