Et si on se tordait les côtes? Mais les pieds de notre cochon ne sont pas pendus au plafond...
Cette entame d’article peut apparaître comme déplacée, mais heureusement, et contrairement à bien d’autres, les sœurs des Côtes possèdent de l’humour. Par les temps qui courent, on prend. On aime.
Les «Sœurs adoratrices du Cœur Royal de Jésus Christ Souverain Prêtre» ont pris pension à l’ancien institut religieux de formation du Noirmont, fermé en 1998, en mai 2011. Elles mènent leur vie. Dans le calme. La spiritualité. Mais elles dérangent. Une minorité, mais elles dérangent quand même.
Un habitué des lieux témoigne: «Je dois constamment me battre pour abolir certains préjugés tenaces contre les sœurs des Côtes. Préjugés sciemment entretenus par quelques personnes mal intentionnées.» Le regard du Franc-Montagnard se dirige sans la moindre hésitation en direction du clergé local. Attention: sujet sensible. Très sensible.
Une citerne
Samedi matin,...