En tant que bénéficiaire d’une subvention cantonale, vous ne semblez pas avoir trop souffert des mesures d’économies du programme Optima.
On en a un peu souffert comme tout le monde, mais on a prévu le coup, en recherchant d’emblée d’autres financements pour compenser le manque. On dépend certes du canton pour notre fonctionnement, mais d’entités comme la Loterie romande, entre autres, pour financer nos spectacles.
Au sein de vos groupes de programmation, vous maintenez un staff d’environ 50 bénévoles. Vous n’êtes donc pas touchés par l’érosion des forces vives ou par leur lassitude?
On parvient toujours à trouver du monde, mais on rencontre ce problème au niveau des jeunes. On a du mal à en recruter. Ils sont souvent partants pour un événement qui les intéresse, mais pas dans l’idée de s’investir, en fonctionnant avec des commissions qui se réunissent régulièrement. Le schéma se reproduit d’ailleurs du côté de notre...