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Apprendre à aimer ce qui vacille

Dans un récit poignant, Rose-Marie Pagnard raconte la mort de sa fille toxicomane.

30 avr. 2013, 00:01
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LE LIVRE "J'aime ce qui vacille", Rose-Marie Pagnard, éditions Zoé.

LA DEDICACE Salon international du livre et de la presse, Genève, stand Zoé, demain de 16h à 17h, vendredi de 15h à 16h.

LA BIO Née à Delémont, épouse du peintre René Myrha, lauréate des prix Dentan et Schiller. Rose-Marie Pagnard a publié "La période Fernandez" (Actes Sud, 1988), "Dans la forêt la mort s'amuse" (Actes Sud, 1999), "Le conservatoire d'amour" (Rocher, 2008), "Le motif du rameau", Zoé, 2010).

" Elle avait dormi tout l'hiver profondément et sans rêve et maintenant elle se dressait sur ses pattes, les yeux gonflés et presque aveugles devant la façade ensoleillée."

Le récit s'ouvre sur cette scène fantasmagorique. Dans la ville bourgeonnant de promesses printanières, une mère comme une bête blessée part sur les traces de sa fille morte, accoutrée d'une peau d'ours. On apprendra plus tard que son mari est costumier de théâtre....

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