Pour l'heure, ce comité apolitique est représenté par le professeur de l'Université de Neuchâtel Edward Mitchell, qui estime qu'il est temps de changer de modèle, et surtout que c'est possible. Les soutiens sont nombreux, selon les initiants, qui auront une année pour récolter 100 000 signatures.
Les chefs du Service cantonal de l'agriculture et de la station viticole cantonale sont sceptiques.
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