Une montée en puissance jusqu’à lundi, suivie d’une intervention de la Police neuchâteloise qui a débouché, hier, sur la fermeture momentanée d’une application pour smartphone. Il fallait empêcher les propos insultants, racistes et autres harcèlements...
Nous parlons de Jodel, une application proposée en Allemagne depuis 2014 avant de se répandre dans différents pays d’Europe (sur le modèle de l’application Yik Yak, créée une année plus tôt aux Etats-Unis). Son principe: une fois inscrit, l’utilisateur peut déposer – anonymement – un bref message que peuvent lire tous les autres utilisateurs dans un rayon de 10 kilomètres. A l’image de l’application WhatsApp, Jodel a pour objectif de permettre à une communauté (au sein d’une université par exemple) d’échanger en direct sur des sujets plus ou moins importants. Plutôt moins que plus en général...
Flambée depuis la reprise
Mais voilà, Jodel est ouvert à tous, quand bien même, lors de l’inscription, l’utilisateur s’engage...