CONTEXTE
Lundi, sur le coup de 16h30, Raphaël Comte cédera la présidence du Conseil des Etats à Ivo Bischofberger, représentant d’Appenzell Rhodes-Intérieures. Le libéral-radical neuchâtelois revient sur une année dense et enrichissante. Sans pincement au cœur au moment de retourner sur les bancs de la chambre haute.
Le Neuchâtelois Raphaël Comte, conseiller aux Etats depuis 2010, quitte la présidence de la chambre haute lundi à l’occasion de l’ouverture de la session d’hiver des Chambres fédérales. «Je n’ai pas de nostalgie particulière. La date du 28 novembre 2016 est connue depuis une année. J’ai essayé de remplir cette année présidentielle en sachant qu’elle avait une fin», relève le libéral-radical de Corcelles-Cormondrèche.
Quel bilan global tirez-vous de votre année de présidence?
Un bilan positif. C’était une très belle expérience, une année dense, extrêmement riche et passionnante. J’ai fait le tour des 26 cantons pour rencontrer les autorités et la population. C’était...