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Trois questions à... Séverine Despland

Secrétaire générale de la chancellerie de l'Etat de Neuchâtel, elle assure l'intérim à la tête de la chancellerie jusqu'au 1er juillet

09 juin 2009, 11:56

1 - Depuis le départ de Jean-Marie Reber le 25 mai, vous assistez aux séances du Conseil d'Etat?
Oui, je joue le rôle que jouait le chancelier et celui que jouera la nouvelle chancelière, Monica Engheben, à partir de son entrée en fonction le 1er juillet. J'assiste aux séances du gouvernement et je signe les actes officiels avec le président du Conseil d'Etat. Mais je ne serai pas au Grand Conseil les 23 et 24 juin; c'est la responsable du Service du Grand Conseil qui sera assise à la place du chancelier, à gauche de la présidente.

2 - Vous continuez, pendant ce laps de temps, de remplir votre fonction de secrétaire générale?
Oui, je porte les deux casquettes, ce qui fait que mon emploi est bien chargé. En tant que secrétaire générale, je m'occupe notamment de tout ce qui touche aux droits politiques, organisation de scrutins, application de la loi sur les droits politiques, ainsi que de la coordination des activités des services de la chancellerie.

3 - Et le 1er juillet, à l'arrivée de Monica Engheben?
Je vais lui transmettre les dossiers en cours, lui présenter ce que j'ai entamé pendant cette période. Mais nous l'avons déjà rencontrée, avec le chancelier Jean-Marie Reber, afin de l'informer de la situation. Elle était aussi présente le 5 avril, lors des élections, et le 26 mai, jour de l'installation des autorités, ce qui lui a permis de se rendre compte de la manière dont la chancellerie organise les choses. /sdx

 

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