Ils ont décidé de participer au «janvier sec»: trois Neuchâtelois racontent leurs espoirs et leurs expériences passées.
Jean-Marc Morel, 49 ans, Fontainemelon
«J’ai fait ce défi pour la première fois en 2018, pour voir si j’avais la force de caractère pour tenir. Les premiers jours, c’est toujours compliqué mais, après deux semaines, c’est comme si on avait oublié l’alcool. Ça m’a permis de me rendre compte qu’on a souvent le réflexe de boire un verre. Sans alcool, j’ai également pu trouver un meilleur sommeil.»
Alain Roth, 51 ans, Fleurier
«J’attaque mon premier Dry January cette année. J’en profite pour me relancer au niveau sportif, avec un coach. Mon objectif n’est pas de devenir abstinent à l’avenir, mais de limiter l’alcool. Cette année, ce sera plus facile puisque les restaurants sont fermés. La tentation sera moins grande. Je ne ferai pas non plus de repas en famille ou entre amis.»